Le Missale speciale du XVe siècle contient les formulaires de messe pour les fêtes les plus importantes de l'année liturgique (Noël, Epiphanie, Pâques, Ascension, Pentecôte, Trinité, saint Michel, Toussaint, et consécration de l'église), ainsi que la messe des morts et quelques messes votives. Cette compilation se prêtait aux célébrations dans une chapelle. Dans ce manuscrit, l'image du canon de la messe avec la Crucifixion a été découpée.
En ligne depuis: 14.12.2018
Le missel de petit format, copié en 1483, fut utilisé par des membres de l'ordre franciscain comme on peut le déduire du calendrier. Au XVIe siècle, il appartenait au conventuel de Muri, Rudolf Gwich, qui devint plus tard abbé du monastère d'Engelberg. Celui-ci inscrivit dans le calendrier son entrée au monastère et apposa ses armes sur la page de garde postérieure.
En ligne depuis: 04.10.2018
Ce missel représente le plus ancien document conservé jusqu'à nos jours dans le canton d'Appenzell Rhodes-Intérieures et se trouve en possession de la paroisse de Saint-Maurice d'Appenzell. Il a probablement été réalisé pour une église située dans le diocèse de Constance, mais son origine exacte reste pourtant inconnue. L'importance du missel pour l'histoire du territoire d'Appenzell vient aussi du fait qu'il contient la seule copie connue de l'acte de fondation de la paroisse d'Appenzell en 1071. Le volume contient des parties séparées (calendrier, graduel, séquentiaire, sacramentaire, lectionnaire). Le calendrier est richement pourvu en fêtes des saints, dont aucune n'a été rubriquée en tant que fête patronale.
En ligne depuis: 17.12.2015
Missel pour le diocèse de Bâle réalisé vers 1460. Le volume richement illustré faisait partie d'une donation de la veuve Margaretha Brand († 1474) à la chartreuse de Bâle. Il fut utilisé sur l'autel de la Vierge dans le petit cloître de la chartreuse. Du point de vue artistique, le manuscrit peut être attribué audit « Vullenhoe-Gruppe ».
En ligne depuis: 26.09.2017
Ce manuscrit contient le texte français de la chanson de geste, Ami et Amile. La période de copie de l'ouvrage (du 16 mai au 23 juin 1425) nous est donnée par le colophon. Le texte écrit en cursive gothique est jalonné par de très nombreuses initiales rubriquées marquant le début de chaque strophe. La reliure moderne en carton (XIXe s.) est couverte d'un fragment de parchemin provenant d'un missel du XVe siècle. Une inscription sur un feuillet de garde indique que le volume fut donné en cadeau à la femme de lettres Anne de Graville (1490-1540). Il compta plus tard parmi les livres de la collection du gendre de cette dernière, le bibliophile Claude d'Urfé (1501-1558). Au XIXe s., l'ouvrage fut en la possession du philologue Wilhelm Wackernagel (1806-1869), qui en 1843 le donna à la Bibliothèque de l'Université de Bâle.
En ligne depuis: 04.10.2018
Le fragment composé d'un folio contient un extrait d'un missel avec des neumes lequel, sur la base du contenu – la fête de saint Arbogast –, a probablement été réalisé dans la région de Strasbourg. Il fut réutilisé vers 1650, vraisemblablement à Berne comme jaquette de protection d'un cahier d'école de Niclaus Frisching (BBB Mss.h.h. XXIV.183), d'où il a été détaché en 1944.
En ligne depuis: 02.07.2020
Missel en usage dans le diocèse de Constance, écrit par le prébendier de Beromünster Johannes Dörflinger en 1474-1475 pour l'église de Hochdorf (Lucerne). Le manuscrit a été commandité pour la nouvelle chapellenie des Saints Pierre et Paul, peut-être par son fondateur, le pléban et doyen Johannes Teller. Il contient des initiales filigranées raffinées au début des différentes sections liturgiques et une miniature en pleine page représentant la Crucifixion (106v) pour introduire le Te igitur. Sur quelques pages, qui étaient restées blanches, ont été transcrits les principaux documents relatifs à la création de la prébende des Saints Pierre et Paul à Hochdorf (78r-82v).
En ligne depuis: 23.09.2014
Ce codex représente probablement la transcription originale du manuscrit neumé dans la notation de Guido d'Arezzo, réalisée peu avant 1314 à la demande de l'abbé Jean I de Schwanden. Sur la base de ce modèle ont été réalisées dans d'autres „Schwanden codices“ des copies calligraphiées. D'importantes traces de leur usage confirment que ces manuscrits ont été utilisés jusqu'à la fin du XVIIe s., c'est-à-dire jusqu'à la réforme liturgique qui a suivi le Concile de Trente. Il s'agit de dialecte choral alémanique, comme il est encore aujourd'hui chanté à Einsiedeln.
En ligne depuis: 04.11.2010
Ce codex contient d'abord les œuvres d'Augustin : 1r-27v Liber de gratia et libero arbitrio, 28r-63r lettres à et de Augustin De praedestinatione et aux ff. 63r-93r le Liber secundus de dono perseverentiae. Suit le Tractatus de gratia et libero arbitrio, rédigé en 1127 par l'abbé cistercien Bernard de Clairvaux. Les ff. 1-80 sont palimpsestes. Le décor se limite à des initiales maladroitement ornées et des titres en rouge au début des divers livres, des majuscules retouchées en rouge et un dessin à la plume au f. 93r. Au f. 111r, de façon analogue au Cod. 138, peut se lire une inscription de propriété tardive. Le tracé de l'écriture rappelle celui du Cod. 90.
En ligne depuis: 04.10.2011
La principale partie de ce codex contient le De sacramentis fidei christianae d'Hugues de Saint-Victor (10r-147r). Cette œuvre est précédée de deux brefs traités sur l'Antéchrist (Pseudo-Augustin 1r-6v et Pierre Damien 6v-10r), et suivie d'un recueil de sentences et d'extraits du De universo de Raban Maur. Les ff. 1-44 sont, à quelques exceptions près, palimpsestes. Les pages postérieures présentent plus de trous et de déchirures ou sont en partie découpées; une page entre 10 et 11r manque complètement. L'écriture se caractérise par de nombreux changements de mains et d'encres et la réglure n'est pas homogène. A part les simples initiales rouges et noires et les lignes rubriquées, le livre ne comporte aucun décor; le f. 112v présente quelques gribouillages dans les marges. Le codex ne contient aucune indication précise sur son origine à Engelberg, mais présente des ressemblances avec les volumes réalisés sous l'abbatiat de Frowin (1143-1178).
En ligne depuis: 04.10.2011
Le manuscrit, composé de seulement 28 feuillets et contenant un missel partiel de rite ambrosien, provient de l'oratoire de S. Bernardino de Faido (canton du Tessin). Celui-ci venait d'être nouvellement consacré au XVe siècle (probablement en 1459) sous le patronage de la famille Varesi laquelle offrit, peut-être à cette occasion, ce manuscrit pour permettre la célébration de la messe. Aux premiers cahiers (1-12, 16-19), elle fit probablement ajouter le cahier avec la messe pour le patron saint Bernardin (20-25), ainsi que le feuillet détaché avec deux miniatures représentant la Maiestas domini et la Crucifixion. L'écriture, une rotunda gothique de type italien, contraste avec les miniatures qui partagent une certaine parenté avec des gravures colorées contemporaines d'origine germanique.
En ligne depuis: 13.06.2019
Le livre de prières a été copié en 1475 (f. 217v). Son lieu d'origine demeure inconnu. Le texte est introduit par l'incipit Diss büchlin ist von anis und zwantzig festen und von sextechen hochziten die durch das gantz jahr begangen werdent [...] (f. 1r). Les initiales et l'incipit sont rubriqués, tandis que le reste du texte est sans ornement, copié à l'encre marron sur une colonne par une main principale. Au centre de nombreux cahiers se trouvent des onglets provenant d'un missel du XIVe siècle (copié en textualis). La reliure en cuir est contemporaine de la réalisation du manuscrit. Elle est décorée de filets disposés en diagonale et d'ornements estampés à froid.
En ligne depuis: 10.12.2020
Très probablement réalisé à Hauterive aux alentours de 1200, ce missel cistercien a retenu récemment l'attention des historiens de Sainte Élisabeth de Hongrie (1207-1231). Il est ainsi considéré, en compagnie d'un autre manuscrit d'Hauterive, l'antiphonaire L 301, comme un témoin de la rapide diffusion du culte de la sainte dans un monastère cistercien. En effet, c'est en 1236 que le chapitre général des cisterciens décida de faire inscrire au martyrologe et au calendrier de l'ordre le nom de la sainte qui venait d'être canonisée l'année précédente. L'inscription correspondante figurant de deuxième main dans le calendrier de notre manuscrit est très vraisemblablement une conséquence de cette décision.
En ligne depuis: 09.04.2014
Ce Missel cistercien, réalisé vers 1300, « représente une phase déjà avancée du développement de ce type de livre liturgique : les chants du graduel sont entièrement intégrés dans le sacramentaire et ne sont plus accompagnés de notations musicales ; ils sont écrits dans une calligraphie plus petite. Sous cette forme, le missel pouvait servir à l'officiant soit pour la messe conventuelle soit pour la messe privée, connue des cisterciens dès leurs débuts. Le lieu d'origine du codex n'est pas déterminé avec certitude. Il s'est sans doute trouvé à partir du XVe siècle à Hauterive, où l'on a rénové sa reliure. L'illustration dans le canon offre un bel exemple d'initiales filigranées de la fin du XIIIe siècle ; la décoration de rinceaux semble ici encore « domestiquée » par un encadrement rigoureux » (Joseph Leisibach, Liturgica Friburgensia. Des Livres pour Dieu, 1993, p. 89).
En ligne depuis: 31.03.2011
Ce missel du diocèse de Lausanne reflète le contenu du Ms. 7 du couvent des Cordeliers de Fribourg. La décoration est constituée de lettres décorées d'élégants filigranes en rouge, bleu et vert et de la page du Te igitur encadrée par une frise de petites feuilles trilobées avec un oiseau tenant une fleur dans son bec. La page lui faisant face, qui contenait probablement une miniature de la Crucifixion, a été découpée. Le missel appartenait à la collection de Karl Friedrich von Steiger (m. 1982) et a été acheté par la BCU de Fribourg en 1991.
En ligne depuis: 08.10.2020
D'après le calendrier et le sanctoral, le missel est à l'usage de la cathédrale Saint-Pierre de Genève. Réalisé au XIVe siècle, le manuscrit a été restauré et augmenté de quelques feuillets vers 1500, signe qu'il était toujours en usage à ce moment là. De même, une peinture représentant des anges portant les armes de Genève a été surpeinte sur une ancienne enluminure dans la marge de la page canon de la messe (f. 95r), qui présente en outre une Crucifixion et une initiale historiée avec la Pentecôte lesquelles sont toutes deux d'origine. Suite à la Réforme, le missel est conservé avec les autres livres du chapitre cathédral à l'Hôtel de Ville, pour être finalement transféré à la Bibliothèque de Genève en 1714.
En ligne depuis: 14.12.2018
Le missel est à l'usage de la cathédrale Saint-Pierre de Genève comme l'indique l'incipit du temporal (f. 1r : Incipit missale secundum usum maioris ecclesie gebennensis). Sans calendrier, ni sanctoral, ni commun des saints – à l'exception d'une colonne biffée (f. 145v) – cette copie très soignée est probablement réalisée à Genève au cours du XVe siècle. D'après Huot, il s'agit du plus ancien manuscrit liturgique étant entré dans le fonds de la Bibliothèque de Genève, à la fin du XVIIe siècle.
En ligne depuis: 14.12.2018
Ce missel fut réalisé à Genève vers 1460 pour Urbain Bonivard, qui fut prieur de Saint-Victor de Genève de 1458 à 1483 ; l'usage liturgique est celui de Cluny ; les miniatures sont l'œuvre de Janin Luysel et de Guillaume Coquin. Au moment de la Réforme, ce manuscrit disparut de Genève ; il ne revint dans sa ville d'origine qu'en 1912 lorsqu'il fut acheté par la ville lors d'une vente aux enchères à Munich.
En ligne depuis: 09.12.2008
Le graduel contient les chants de messe les plus importants pour l'année liturgique et les fêtes des saints. Ils sont écrits en notation carrée. Le rapport graphique entre le texte et la mélodie n'est pas toujours clair.
En ligne depuis: 10.11.2016
Missel du XVe s., parchemin, confectionné pour l'évêque Jean de Venningen (1458-1478). Le registre des dépenses de l'évêque Jean de Venningen permet de suivre les étapes de la confection de ce missel. Ce manuscrit a été réalisé en même temps que le ms 2 et ms 3. En 1462/1463, le manuscrit, quasiment achevé, fait l'objet de travaux de finition, les enluminures, les initiales et le décor filigranés et notamment la pose de la reliure. Pour des raisons de commodité, la disposition de l'Ordo et le Canon a été modifiée. Initialement prévus au début du manuscrit, ils ont finalement été placés au milieu de celui-ci.
En ligne depuis: 09.04.2014
Missel d'après l'usage liturgique du diocèse de Bâle, daté aux alentours de 1300. Une partie contenant l'Ordo Missae, précédée d'une miniature avec la Crucifixtion, a été insérée au XVe siècle. La reliure a été restaurée en 1992 et remplace la reliure d'origine qui n'a pas été conservée.
En ligne depuis: 09.04.2014
Missel d'après l'usage liturgique du diocèse de Bâle, réalisé à la demande de Christophe d'Utenheim, prince-évêque de Bâle de 1502 à 1527, qui a fait peindre ses armes, écartelées à celles de l'évêché de Bâle, dans la marge inférieure du f. 2r. Le Canon de la Messe, qui, à l'origine, manquait, a été ajouté dans un deuxième temps et est décoré d'une initiale historiée avec la Messe de St. Grégoire. La décoration végétale dans la marge latérale et la probable miniature du début avec la Crucifixion ont disparu.
En ligne depuis: 09.04.2014
Au vu de la liturgie et de la présence d'un office pour le saint, le bréviaire provient de l'église collégiale de Saint-Lébuin à Deventer (Pays-Bas). Il a appartenu à Swibert de Keyserswerth (décédé après 1551), grand-père paternel de l'organiste et compositeur néerlandais Jan Pieterszoon Sweelinck (1562-1621).
En ligne depuis: 09.04.2014
Graduel du milieu du XIIe siècle en usage chez les prémontrés de Bellelay.
En ligne depuis: 26.04.2007
Missel précédé d'un calendrier (septembre-décembre) contenant des saints des régions de Lausanne et de Bâle et la dédicace des cathédrales de ces deux diocèses. Quelques parties du texte se conforment à l'usage du diocèse de Lausanne et d'autres à celui du diocèse de Bâle. Une note à l'intérieur du plat antérieur indique que le missel provient de Saint-Ursanne.
En ligne depuis: 17.03.2016
Le Missale speciale a été réalisé en 1333, probablement dans le monastère de Muri, pour la chapelle de saint Laurent à Wallenschwil. Il contient des textes pour les messes célébrées dans cette chapelle durant l'année.
En ligne depuis: 20.12.2016
Ce manuscrit en pleine page, contenant cinq textes d'Augustin partiellement lacunaires, se compose de deux parties qui se distinguent nettement mais constituent, déjà avant 1100, une unité, comme on peut le déduire de l'entrée dans l'inventaire de la bibliothèque du monastère de Allerheiligen datant d'environ 1100 (Min. 17, f. 306v). Tandis que la seconde partie (69 ss) n'est pas décorée, la première présente une page avec l'Incipit et une initiale à entrelacs végétaux. Au XVème siècle, le codex reçut, comme de nombreux autres, une nouvelle reliure en cuir avec une inscription sur le plat antérieur, des bossettes en métal et un fermoir, ainsi qu'une étiquette de titre (1r). Pour réaliser la contre-garde antérieure, un fragment d'un missel neumé du XIIème siècle a été utilisé.
En ligne depuis: 25.06.2015
Une grande partie de ce missel avec notation musicale, a été réalisée vers l'an 1100. Après 1300, ces parties anciennes ont été reliées avec une section plus récente. La présence de certaines caractéristiques, initiales avec entrelacs de végétaux, mention dans le calendrier des saints locaux et autres ajouts, laissent penser que le missel a été réalisé dans le monastère de Allerheiligen à Schaffhouse et y a été utilisé durant plusieurs siècles. Il s'agit d'un des rares manuscrits liturgiques en provenance de ce monastère qui ait survécu à la Réforme.
En ligne depuis: 19.12.2011
Missel acéphale et fragmentaire dans lequel manquent le début du temporal et tout le sanctoral – qui aiderait à la localisation – ainsi que quelques pages. L'écriture, une gothique élégante et soignée, laisse penser qu'il pourrait s'agir d'un manuscrit réalisé dans le scriptorium du chapitre de Sion.
En ligne depuis: 13.10.2016
Missel précédé d'un calendrier du diocèse de Sion. La décoration se compose d'initiales filigranées au début des fêtes les plus importantes (per ex. 8r, 14v, 82r, 92r), et d'une image du crucifix dans le canon de la messe (101r). Thomas Züren d'Unterwassern, un des trois copistes, déclare dans le colophon (193vb) que le volume a été réalisé à la demande de Clemens de Ulrichen pour l'autel de la Vierge in Aragno (Ernen).
En ligne depuis: 13.10.2016
Les parties d'origine du calendrier indiquent que le missel était destiné à être utilisé dans le diocèse de Lausanne, tandis que les entrées ultérieures confirment sa présence et son emploi pour la célébration de la messe dans le diocèse de Sion au plus tard dès 1300. La présence de trois séquences particulières laisse penser qu'il provient de l'Abbaye de Saint-Maurice (188v : séquence de Théodulf Collaudetur rex virtutum; 190r : séquence d'Augustin Augustino laude demus et 189r : séquence de Maurice Pangat Syon dulce melos). Le canon de la messe est décoré avec une initiale enluminée, le Vere dignum, et un cadre avec la crucifixion, la Vierge et saint Jean (97v). Les fêtes plus importantes sont introduites par des initiales décorées sur fond doré (4v, 13rb, 17ra, 18ra etc.) Le codex a été acquis en 1981 par les Archives de l'Etat du Valais sur le marché des Antiquités.
En ligne depuis: 13.10.2016
Le Missale speciale de la deuxième moitié du XIIIe siècle à l'usage de l'ordre franciscain contient les formulaires des messes pour les fêtes les plus importantes de l'année liturgique, des messes votives et quelques rituels. De petit format, il pouvait facilement être emmené en voyage. Leisibach situe son origine en territoire savoyard, ce que les armes, à peine visibles, de la famille de Sales semblent confirmer (f. 59v). Ce missel entra dans la collection de manuscrits de Charles Emmanuel de Rivaz (1753-1830), un important homme politique du Valais. Sur le feuillet de garde antérieur se trouve une note de sa main détaillant le contenu du missel (f. A1r-v). Sa bibliothèque fut déposée en 1978 par ses descendants aux Archives de l'Etat du Valais.
En ligne depuis: 10.12.2020
Ce Missale Speciale Sedunense fut écrit en 1439 pour le évêque de Sion Guillaume de Rarogne († 1451) par Jean Thieboudi. En plus du calendrier, le codex en parchemin contient le Proprium de tempore, l'Ordo et canon missae, le Commune sanctorum, le Proprium de sanctis (de Hilaire jusqu'à Thomas l'apôtre) et les Missae pro defunctis. Dans l'annexe se trouvent encore trois messes votives.
En ligne depuis: 21.12.2010
Manuscrit sur parchemin de 1438/1439, donné par l'avoyer soleurois Henmann von Speigelberg et son épouse, Margarethe von Spins, afin d'être utilisé sur l'autel de Saint-Georges dans leur chapelle, située dans la cathédrale de St-Ours. Le missel a probablement été produit à Soleure. Le missel romain (première impression: Milan 1474 avec le titre de Missale secundum consuetudinem Romane Curie, encore sans les Rubricae generales et Ritus servandus) correspond au Missale curiae, c'est-à-dire au livre de messe de la chapelle pontificale constitué vers 1220.
En ligne depuis: 22.06.2010
Ce missel à l'usage franciscain contient les messes des fêtes et des dimanches du temporal et du sanctoral. Une note de possession du frère mineur Franz Meyer, gardien du couvent soleurois depuis 1587, atteste de la provenance du manuscrit de ce couvent. Comme le suppose Schönherr, il se peut qu'il provienne à l'origine du couvent franciscain de Berne qui a été supprimé pendant la Réforme.
En ligne depuis: 06.09.2023
Le missel de petit format est un important témoin textuel de la liturgie franciscaine du XIIIe siècle. Schönherr suppose qu'il a été réalisé dans la province de l'ordre de Haute-Allemagne et qu'il est de provenance bavaroise (couvent des Franciscaines zum Heiligen Kreuz, Landshut ?). Une note de possession du gardien du couvent des frères mineurs de Dieburg près de Darmstadt date de 1513. On ne sait ni quand ni comment le manuscrit est arrivé à Soleure.
En ligne depuis: 06.09.2023
Ce volume, assemblé durant le XIVème siècle à partir de quatre parties à l'origine séparées, constituait probablement le missel de la chapelle sur le St. Margrethenberg (Sampans) au-dessus de Pfäfers. Les chants dans la première partie (1r-63v, XIIème siècle), dans la seconde (64r-77v, XIII-XIVème siècle) et dans la quatrième (129r-131v, XIIème siècle) contiennent des neumes, ceux de la troisième partie (78r-128v, XIVème siècle) sont écrits en notation carrée.
En ligne depuis: 08.10.2015
Deux manuscrits en un seul volume. Le premier (pp. 1-288 ; début XIIe siècle) contient les épîtres paulines avec la glose ordinaire et quatre prologues : prologue anonyme Stegmüller, Repertorium biblicum, no. 11086 (p. 1), Prologue de Pélage (?), Stegmüller, RB 670 (pp. 1-2), Prologue de Pélage, Stegmüller, RB 674 (pp. 2-3), Prologue de Marcion, Stegmüller, RB 677 (p. 3). Figurent aussi à la p. 3 des extraits du Decretum Gratiani (D. 28 c. 17), du Concilium Bracarense II, can. 2, et un autre texte canonique. Les lettres paulines suivent dans l'ordre habituel (pp. 5-287), ainsi que la lettre apocryphe aux Laodicéens (p. 216-218). Le deuxième manuscrit (pp. 288-448 ; XIIe siècle, depuis la p. 417, XIIe-XIIIe siècle) contient essentiellement des extraits de sermons et d'autres œuvres de Jérôme (pp. 289-374 et 386-387), ainsi que d'autres sermons (pp. 382-386, 387-403 et 408-415) et œuvres, en partie seulement des extraits : Grimlaicus, Regula solitariorum, cap. 3-5 et 31-34 (p. 374-381) ; anonyme, De consanguinitate BMV (p. 403-407) ; Grégoire de Tours, Miracula 1, 31-32 (sur s. Thomas; p. 407-408) ; Amalaire de Metz, Ordinis missae expositio I, prologue et cap. 17 (pp. 415-416); extrait de Grégoire le Grand, Regula pastoralis, cap. 12 (p. 416) ; Pierre Abélard, Sententiae 1-60 et 102-247 (pp. 417-448). A l'intérieur de la reliure, empreintes de fragments d'un missel du Xe siècle.
En ligne depuis: 13.06.2019
Contrairement à la datation de Scherrer, ce missel ne date pas du XIVe siècle, mais de la première moitié du XVe siècle. A côté d'une image canon en pleine page (p. 179), le décor consiste d'une part en initiales filigranées (p. 77b, 413a, 434a etc.) et d'autre part en initiales zoomorphes ou historiées. Par exemple, on trouve pour le jour de Noël une initiale en forme de dragon contenant la Nativité (p. 12a) et pour la Dedicatio huius monasterii une initiale avec un homme dans un arbre (p. 92a). Les nombreuses séquences de ce missel méritent d'être soulignées. D'après la marque de possession à la page 1, Sanctorum Iohannis Baptiste et Evangeliste, ce manuscrit a été conservé au moins jusqu'au XVIIIe siècle au couvent St. Johann im Thurtal.
En ligne depuis: 25.04.2023
Le missel a vraisemblablement été copié pour le Grossmünster de Zurich (suivant la comparaison avec le Liber ordinarius du Grossmünster) ; il contient le Proprium de tempore, le Proprium de sanctis (avec les principales fêtes zurichoises), le Commune sanctorum et des messes votives. Les chants sont systématiquement écrits en plus petits caractères, mais seules quelques pages ont des mélodies avec une notation neumatique. Le Canon missae (p. 73-83) débute par une image simple du canon. A cette exception, le décor se limite à des lombardes rouges pour la plupart hautes de deux lignes.
En ligne depuis: 14.12.2022
Le missel, copié sur du fin parchemin, pourrait provenir d'un couvent de dominicaines dédié à sainte Agnès, étant donné les saints particulièrement mis en valeur par le calendrier (p. 6-17, les mois sont dans le désordre). Le Canon missae (p. 193-204) est introduit par une image du canon de très belle facture, dont la ressemblance avec la crucifixion du couvent des Dominicains de Constance a été soulignée par les historiens de l'art. Une réalisation du manuscrit dans le diocèse de Constance demeure toutefois improbable, puisque dans le calendrier il manque, entre autres, Gall et Otmar ; le calendrier de fait indique plutôt une provenance strasbourgeoise. Le missel est richement orné d'initiales filigranées rouges et bleues. Il y a à la p. 18 un Exorcismus salis et aquae, et à la fin du Commune sanctorum des messes votives (p. 426-446), puis des séquences (p. 447-461). Le manuscrit se trouve à Saint-Gall au plus tard depuis le XVIe ou le XVIIe siècle (note de possession à la p. 5).
En ligne depuis: 14.12.2022
Missel pontifical de l'abbé de Saint-Gall Ulrich Rösch (1463-1491). Le manuscrit se compose de deux parties, la première (p. 5-102) a été écrite par le conventuel de Wiblingen Simon Rösch, la seconde (p. 103-236) a probablement été complétée après la mort de l'abbé Ulrich Rösch. Seules les préfaces (p. 83-102) sont pourvues de mélodies en notation allemande du plain chant (« Hufnagelnotation ») sur cinq lignes. En plus des armoiries de l'abbé (p. 5), une illustration de la crucifixion avec en médaillon les symboles des quatre Evangélistes (p. 70). Quelques pages présentent une décoration sous forme de bordure dans les marges et des initiales, en partie, dorées à la feuille d'or.
En ligne depuis: 07.10.2013
Missel pontifical de l'abbé de Saint-Gall Diethelm Blarer (1530-1564), le plus beau manuscrit du XVIe siècle en Suisse.
En ligne depuis: 31.12.2005
Cod. Sang. 1397 est l'un des huit volumes de fragments (c'est-à-dire des volumes qui contiennent exclusivement des fragments) de la Stiftsbibliothek de Saint-Gall. Entre 1774 et 1785, les moines du lieu Johann Nepomuk Hauntinger (1756-1823) et Ildefons von Arx (1755-1833) retirèrent des reliures de nombreux fragments qui avaient été utilisés comme feuillets de garde, onglets, ou renforcement du dos des reliures. A un âge avancé, Ildefons von Arx fit relier les fragments rangés thématiquement dans huit volumes et les offrit en 1822 à son ami Johann Nepomuk Hauntinger. Principalement au cours du XXe siècle, des chercheurs ont trouvé d'autres petits fragments dans des reliures, d'où ils furent retirés, puis placés dans les volumes de fragments existants ou ajoutés à la collection de fragments. De 2005 à 2006 l'important volume de fragments Cod. Sang. 1397 a été dérelié pour des raisons de conservation. Les fragments ont été reliés à neuf (dans le même ordre) dans 23 cahiers (« Ganzpapierbroschuren »). La nouvelle pagination, qui fait désormais foi, commence à 1 dans chaque cahier et ne comprend que les fragments (sans les pages blanches en papier). Mode de citation, par exemple : St. Gallen, Stiftsbibliothek, Cod. Sang. 1397.1, p. 1-2 (= Cod. Sang. 1397, cahier 1, p. 1-2). Le 2e cahier du Cod. Sang. 1397 contient des fragments, dont la plupart avec une notation musicale, provenant de neuf manuscrits liturgiques datant du Xe/XIe au XIIe siècle.
En ligne depuis: 06.09.2023
Cod. Sang. 1397 est l'un des huit volumes de fragments (c'est-à-dire des volumes qui contiennent exclusivement des fragments) de la Stiftsbibliothek de Saint-Gall. Entre 1774 et 1785, les moines du lieu Johann Nepomuk Hauntinger (1756-1823) et Ildefons von Arx (1755-1833) retirèrent des reliures de nombreux fragments qui avaient été utilisés comme feuillets de garde, onglets, ou renforcement du dos des reliures. A un âge avancé, Ildefons von Arx fit relier les fragments rangés thématiquement dans huit volumes et les offrit en 1822 à son ami Johann Nepomuk Hauntinger. Principalement au cours du XXe siècle, des chercheurs ont trouvé d'autres petits fragments dans des reliures, d'où ils furent retirés, puis placés dans les volumes de fragments existants ou ajoutés à la collection de fragments. De 2005 à 2006 l'important volume de fragments Cod. Sang. 1397 a été dérelié pour des raisons de conservation. Les fragments ont été reliés à neuf (dans le même ordre) dans 23 cahiers (« Ganzpapierbroschuren »). La nouvelle pagination, qui fait désormais foi, commence à 1 dans chaque cahier et ne comprend que les fragments (sans les pages blanches en papier). Mode de citation, par exemple : St. Gallen, Stiftsbibliothek, Cod. Sang. 1397.1, p. 1-2 (= Cod. Sang. 1397, cahier 1, p. 1-2). Le 4e cahier du Cod. Sang. 1397 contient des fragments avec une notation musicale provenant de six manuscrits liturgiques datant du XIe au XIIIe siècle.
En ligne depuis: 06.09.2023
Cod. Sang. 1397 est l'un des huit volumes de fragments (c'est-à-dire des volumes qui contiennent exclusivement des fragments) de la Stiftsbibliothek de Saint-Gall. Entre 1774 et 1785, les moines du lieu Johann Nepomuk Hauntinger (1756-1823) et Ildefons von Arx (1755-1833) retirèrent des reliures de nombreux fragments qui avaient été utilisés comme feuillets de garde, onglets, ou renforcement du dos des reliures. A un âge avancé, Ildefons von Arx fit relier les fragments rangés thématiquement dans huit volumes et les offrit en 1822 à son ami Johann Nepomuk Hauntinger. Principalement au cours du XXe siècle, des chercheurs ont trouvé d'autres petits fragments dans des reliures, d'où ils furent retirés, puis placés dans les volumes de fragments existants ou ajoutés à la collection de fragments. De 2005 à 2006 l'important volume de fragments Cod. Sang. 1397 a été dérelié pour des raisons de conservation. Les fragments ont été reliés à neuf (dans le même ordre) dans 23 cahiers (« Ganzpapierbroschuren »). La nouvelle pagination, qui fait désormais foi, commence à 1 dans chaque cahier et ne comprend que les fragments (sans les pages blanches en papier). Mode de citation, par exemple : St. Gallen, Stiftsbibliothek, Cod. Sang. 1397.1, p. 1-2 (= Cod. Sang. 1397, cahier 1, p. 1-2). Le 6e cahier du Cod. Sang. 1397 contient des fragments avec une notation musicale provenant de six manuscrits liturgiques datant du XIe au XIVe siècle.
En ligne depuis: 06.09.2023
Cod. Sang. 1397 est l'un des huit volumes de fragments (c'est-à-dire des volumes qui contiennent exclusivement des fragments) de la Stiftsbibliothek de Saint-Gall. Entre 1774 et 1785, les moines du lieu Johann Nepomuk Hauntinger (1756-1823) et Ildefons von Arx (1755-1833) retirèrent des reliures de nombreux fragments qui avaient été utilisés comme feuillets de garde, onglets, ou renforcement du dos des reliures. A un âge avancé, Ildefons von Arx fit relier les fragments rangés thématiquement dans huit volumes et les offrit en 1822 à son ami Johann Nepomuk Hauntinger. Principalement au cours du XXe siècle, des chercheurs ont trouvé d'autres petits fragments dans des reliures, d'où ils furent retirés, puis placés dans les volumes de fragments existants ou ajoutés à la collection de fragments. De 2005 à 2006 l'important volume de fragments Cod. Sang. 1397 a été dérelié pour des raisons de conservation. Les fragments ont été reliés à neuf (dans le même ordre) dans 23 cahiers (« Ganzpapierbroschuren »). La nouvelle pagination, qui fait désormais foi, commence à 1 dans chaque cahier et ne comprend que les fragments (sans les pages blanches en papier). Mode de citation, par exemple : St. Gallen, Stiftsbibliothek, Cod. Sang. 1397.1, p. 1-2 (= Cod. Sang. 1397, cahier 1, p. 1-2). Le 10e cahier du Cod. Sang. 1397 contient des fragments, dont deux avec une notation musicale, provenant de six manuscrits liturgiques datant du Xe au XIIe siècle.
En ligne depuis: 06.09.2023
Cod. Sang. 1397 est l'un des huit volumes de fragments (c'est-à-dire des volumes qui contiennent exclusivement des fragments) de la Stiftsbibliothek de Saint-Gall. Entre 1774 et 1785, les moines du lieu Johann Nepomuk Hauntinger (1756-1823) et Ildefons von Arx (1755-1833) retirèrent des reliures de nombreux fragments qui avaient été utilisés comme feuillets de garde, onglets, ou renforcement du dos des reliures. A un âge avancé, Ildefons von Arx fit relier les fragments rangés thématiquement dans huit volumes et les offrit en 1822 à son ami Johann Nepomuk Hauntinger. Principalement au cours du XXe siècle, des chercheurs ont trouvé d'autres petits fragments dans des reliures, d'où ils furent retirés, puis placés dans les volumes de fragments existants ou ajoutés à la collection de fragments. De 2005 à 2006 l'important volume de fragments Cod. Sang. 1397 a été dérelié pour des raisons de conservation. Les fragments ont été reliés à neuf (dans le même ordre) dans 23 cahiers (« Ganzpapierbroschuren »). La nouvelle pagination, qui fait désormais foi, commence à 1 dans chaque cahier et ne comprend que les fragments (sans les pages blanches en papier). Mode de citation, par exemple : St. Gallen, Stiftsbibliothek, Cod. Sang. 1397.1, p. 1-2 (= Cod. Sang. 1397, cahier 1, p. 1-2). Le 11e cahier du Cod. Sang. 1397 contient des fragments, dont un avec une notation musicale, provenant de huit manuscrits liturgiques datant du IXe au XIIIe siècle.
En ligne depuis: 06.09.2023
Cod. Sang. 1397 est l'un des huit volumes de fragments (c'est-à-dire des volumes qui contiennent exclusivement des fragments) de la Stiftsbibliothek de Saint-Gall. Entre 1774 et 1785, les moines du lieu Johann Nepomuk Hauntinger (1756-1823) et Ildefons von Arx (1755-1833) retirèrent des reliures de nombreux fragments qui avaient été utilisés comme feuillets de garde, onglets, ou renforcement du dos des reliures. A un âge avancé, Ildefons von Arx fit relier les fragments rangés thématiquement dans huit volumes et les offrit en 1822 à son ami Johann Nepomuk Hauntinger. Principalement au cours du XXe siècle, des chercheurs ont trouvé d'autres petits fragments dans des reliures, d'où ils furent retirés, puis placés dans les volumes de fragments existants ou ajoutés à la collection de fragments. De 2005 à 2006 l'important volume de fragments Cod. Sang. 1397 a été dérelié pour des raisons de conservation. Les fragments ont été reliés à neuf (dans le même ordre) dans 23 cahiers (« Ganzpapierbroschuren »). La nouvelle pagination, qui fait désormais foi, commence à 1 dans chaque cahier et ne comprend que les fragments (sans les pages blanches en papier). Mode de citation, par exemple : St. Gallen, Stiftsbibliothek, Cod. Sang. 1397.1, p. 1-2 (= Cod. Sang. 1397, cahier 1, p. 1-2). Le 12e cahier du Cod. Sang. 1397 contient des fragments provenant de neuf manuscrits liturgiques datant du XIe au XIIe siècle.
En ligne depuis: 06.09.2023
Cod. Sang. 1397 est l'un des huit volumes de fragments (c'est-à-dire des volumes qui contiennent exclusivement des fragments) de la Stiftsbibliothek de Saint-Gall. Entre 1774 et 1785, les moines du lieu Johann Nepomuk Hauntinger (1756-1823) et Ildefons von Arx (1755-1833) retirèrent des reliures de nombreux fragments qui avaient été utilisés comme feuillets de garde, onglets, ou renforcement du dos des reliures. A un âge avancé, Ildefons von Arx fit relier les fragments rangés thématiquement dans huit volumes et les offrit en 1822 à son ami Johann Nepomuk Hauntinger. Principalement au cours du XXe siècle, des chercheurs ont trouvé d'autres petits fragments dans des reliures, d'où ils furent retirés, puis placés dans les volumes de fragments existants ou ajoutés à la collection de fragments. De 2005 à 2006 l'important volume de fragments Cod. Sang. 1397 a été dérelié pour des raisons de conservation. Les fragments ont été reliés à neuf (dans le même ordre) dans 23 cahiers (« Ganzpapierbroschuren »). La nouvelle pagination, qui fait désormais foi, commence à 1 dans chaque cahier et ne comprend que les fragments (sans les pages blanches en papier). Mode de citation, par exemple : St. Gallen, Stiftsbibliothek, Cod. Sang. 1397.1, p. 1-2 (= Cod. Sang. 1397, cahier 1, p. 1-2). Le 14e cahier du Cod. Sang. 1397 contient des fragments provenant de huit manuscrits liturgiques datant du XIIe au XIVe siècle.
En ligne depuis: 06.09.2023
Cod. Sang. 1397 est l'un des huit volumes de fragments (c'est-à-dire des volumes qui contiennent exclusivement des fragments) de la Stiftsbibliothek de Saint-Gall. Entre 1774 et 1785, les moines du lieu Johann Nepomuk Hauntinger (1756-1823) et Ildefons von Arx (1755-1833) retirèrent des reliures de nombreux fragments qui avaient été utilisés comme feuillets de garde, onglets, ou renforcement du dos des reliures. A un âge avancé, Ildefons von Arx fit relier les fragments rangés thématiquement dans huit volumes et les offrit en 1822 à son ami Johann Nepomuk Hauntinger. Principalement au cours du XXe siècle, des chercheurs ont trouvé d'autres petits fragments dans des reliures, d'où ils furent retirés, puis placés dans les volumes de fragments existants ou ajoutés à la collection de fragments. De 2005 à 2006 l'important volume de fragments Cod. Sang. 1397 a été dérelié pour des raisons de conservation. Les fragments ont été reliés à neuf (dans le même ordre) dans 23 cahiers (« Ganzpapierbroschuren »). La nouvelle pagination, qui fait désormais foi, commence à 1 dans chaque cahier et ne comprend que les fragments (sans les pages blanches en papier). Mode de citation, par exemple : St. Gallen, Stiftsbibliothek, Cod. Sang. 1397.1, p. 1-2 (= Cod. Sang. 1397, cahier 1, p. 1-2). Le 15e cahier du Cod. Sang. 1397 contient des fragments provenant de trois manuscrits liturgiques datant du XIe au XIIIe siècle.
En ligne depuis: 06.09.2023