Le grand antiphonaire avec un riche décor d'initiales filigranées du deuxième quart du XIVe siècle contient les chants de l'office de Pentecôte jusqu'au début de l'Avent. Il a été copié pour les chanoines réguliers de saint Augustin de Saint-Léonard à Bâle et arriva au monastère de Muri seulement à l'époque moderne.
En ligne depuis: 18.06.2020
Premier volume (partie hivernale) de l'antiphonaire en deux volumes avec les chants de la liturgie des heures ; il était utilisé en alternance avec le manuscrit MsMurFm9. Ce manuscrit de grand format, du XVe siècle, est en grande partie sans décor. Sur la base des répons du temps de l'Avent, il peut être attribué à l'ordre cistercien.
En ligne depuis: 18.06.2020
Deuxième volume (partie estivale) de l'antiphonaire en deux volumes qui a été utilisé en alternance avec le manuscrit MsMurFm6. Ce manuscrit de grand format, du XVe siècle, est en grande partie sans décor. Sur la base des fêtes des saints (Bernard de Clairvaux, Edmond de Canterbury, Robert de Molesme), il peut être attribué à l'ordre cistercien.
En ligne depuis: 18.06.2020
Copies et régestes des privilèges et documents relatifs au domaine (Meierhof) de Erlinsbach du XIVe au XVIe siècle. Commencé vers 1525 au moment de la dissolution du couvent. Une notation carrée figure sur la reliure en parchemin.
En ligne depuis: 04.10.2018
La majeure partie du manuscrit contient des œuvres de Marquart von Stadtkyll – Chirurgie (5r-50r) et Von den Zeichen des Todes (50v-58v) – ou qui lui sont attribuées (59r-109r prescriptions diverses pour des pansements, onguents, poudres, bains, etc.). Dans le reste du manuscrit (1v-4v, 109r-139r), 150 recettes médicales ont été transcrites par différents copistes entre le XVe et le XVIe siècle. Le type d'écriture et le dialecte utilisé renvoient à une provenance du sud-ouest de l'Allemagne. Au XIXe siècle, le manuscrit était en possession d'une famille Hegwein de Herrnsheim (en Basse-Franconie) dont les membres ont laissé les noms et plusieurs dates. En 1969, il est acheté par Martin Bodmer auprès de William H. Schab Gallery à New York.
En ligne depuis: 13.06.2019
Le manuscrit 83 est un bréviaire complet composé des parties suivantes: calendrier, antiphonaire avec notation neumatique, lectionnaire avec les lectures bibliques, homiliaire avec les lectures de Pères de l'Eglise, hymnaire, Cantiques de l'Ancien et du Nouveau Testament, psautier, lectures brèves, oraisons, prières et bénédictions. Il convient surtout de relever la plus ancienne version conservée de l'office en l'honneur de Meinrad, qui n'est plus utilisée aujourd'hui. Les mélodies de l'antiphonaire se rattachent à l'ancien dialecte choral alémanique, tel qu'il est encore chanté de nos jours à Einsiedeln dans la liturgie des Heures.
En ligne depuis: 04.11.2010
Cet antiphonaire fut écrit à la demande de l'abbé Jean I de Schwanden pour les offices des heures de la communauté monastique de Einsiedeln. Avec les Cod. 611-613, il atteste l'introduction du système de la notation carrée de Guido Monaco.
En ligne depuis: 23.04.2013
Ce codex représente probablement la transcription originale du manuscrit neumé dans la notation de Guido d'Arezzo, réalisée peu avant 1314 à la demande de l'abbé Jean I de Schwanden. Sur la base de ce modèle ont été réalisées dans d'autres „Schwanden codices“ des copies calligraphiées. D'importantes traces de leur usage confirment que ces manuscrits ont été utilisés jusqu'à la fin du XVIIe s., c'est-à-dire jusqu'à la réforme liturgique qui a suivi le Concile de Trente. Il s'agit de dialecte choral alémanique, comme il est encore aujourd'hui chanté à Einsiedeln.
En ligne depuis: 04.11.2010
La partie principale du manuscrit se compose de l'Antiphonale. Les chants de la messe pour l'année liturgique et les fêtes des saints (ff. 3v-83v), en grande partie avec des neumes, ont été complétés avec des chants pour les processions, les litanies et un séquentiaire (ff. 83v-109r). Des ajouts du XIIIe siècle ont été reliés au début (ff. 1r-2v) et à la fin (ff. 109r-122v), parmi lesquels une séquence neumée en langue allemande dédiée à Marie (fol. 115r) et une élégie sur la mort du roi Hohenstaufen Philippe de Souabe assassiné en 1208 (fol. 117v).
En ligne depuis: 23.09.2014
Ce volume fait partie d'un antiphonaire en trois volumes, réalisé en double exemplaire, pour la liturgie du Chapitre collégial de Saint-Vincent dans la ville de Berne, peu après sa fondation en 1484/85. Il contient toute la partie hivernale du temporal, du sanctoral et du commun des saints, selon la liturgie du diocèse de Lausanne. La décoration, composée de diverses initiales enluminées, est attribuée au Maître du bréviaire de Jost von Silenen, un enlumineur itinérant qui travailla à Fribourg, Berne, Sion, puis à Ivrea et Aoste, et qui doit son nom au bréviaire en deux volumes réalisé vers 1493 pour l'évêque de Sion Jost von Silenen (1482-1496). Suite à l'arrivée de la Réforme en 1528 et à la sécularisation consécutive du chapitre, tous les antiphonaires de cet ensemble ont été dispersés en 1530: quatre furent vendus à la ville d'Estavayer-le-Lac qui les utilisa pour la liturgie de la Collégiale Saint-Laurent, tandis que deux autres – parmi lesquels le pendant de ce volume – parvinrent, dans des circonstances non encore élucidées, à Vevey, où il est conservé encore aujourd'hui, dans le Musée historique.
En ligne depuis: 18.12.2014
Ce volume fait partie d'un antiphonaire en trois volumes, réalisé en double exemplaire, pour la liturgie du Chapitre collégial de Saint-Vincent dans la ville de Berne, fondé en 1484/85. Il contient le Proprium de sanctis et le Commune de sanctis pour la partie estivale (25 mars-25 novembre), selon la liturgie du diocèse de Lausanne. La décoration, analogue à celle du volume I, est toutefois attribuable à un autre enlumineur anonyme et de moindre qualité. Suite à l'arrivée de la Réforme en 1528, et à la sécularisation consécutive du chapitre, tous les antiphonaires de cet ensemble ont été dispersés en 1530: quatre furent vendus à la ville d'Estavayer-le-Lac qui les utilisa pour la liturgie de la Collégiale Saint-Laurent, tandis que deux autres – parmi lesquels le pendant de ce volume - parvinrent, dans des circonstances non encore élucidées, à Vevey, où il est conservé encore aujourd'hui, dans le Musée historique.
En ligne depuis: 18.12.2014
Ce troisième volume est le dernier d'un antiphonaire réalisé en trois volumes en double exemplaire pour la liturgie du Chapitre collégial de Saint-Vincent dans la ville de Berne, fondé en 1484/85. Il contient la partie estivale du De Tempore, selon la liturgie du diocèse de Lausanne. Le vol. IV en est le pendant. La décoration se compose de cinq initiales enluminées, initiales fleuronnées et à cadeaux, de la main du même artiste qui a décoré le volume I. Suite à l'arrivée de la Réforme en 1528, et à la sécularisation consécutive du chapitre, tous les antiphonaires de cet ensemble ont été dispersés en 1530 : quatre furent vendus à la ville d'Estavayer-le-Lac qui les utilisa pour la liturgie de la Collégiale Saint-Laurent, tandis que deux autres parvinrent, dans des circonstances encore non élucidées, à Vevey, où il est conservé encore aujourd'hui, dans le Musée historique.
En ligne depuis: 18.12.2014
Ce volume fait partie d'un antiphonaire en trois volumes, réalisé en double exemplaire, pour la liturgie du Chapitre collégial de Saint-Vincent dans la ville de Berne, fondé en 1484/85. Il contient la partie estivale du De Tempore, selon la liturgie du diocèse de Lausanne. Le vol. III en est le pendant. La décoration se compose de cadelures, initiales fleuronnées et d'une seule initiales enluminées avec une bordure au f. 1r par un enlumineur anonyme. Suite à l'arrivée de la Réforme en 1528 et à la sécularisation consécutive du chapitre, tous les antiphonaires de cet ensemble ont été dispersés en 1530: quatre furent vendus à la ville d'Estavayer-le-Lac qui les utilisa pour la liturgie de la Collégiale Saint-Laurent, tandis que deux autres parvinrent, dans des circonstances encore non élucidées, à Vevey, où il est conservé encore aujourd'hui, dans le Musée historique.
En ligne depuis: 18.12.2014
Miniature découpée, finement exécutée avec des couleurs variées et lumineuses. La présentation de Jésus au Temple est figurée suivant le récit de l'Evangile de Luc. La Vierge et Joseph tendent l'Enfant au grand prêtre Siméon afin d'obtenir sa bénédiction. Une des deux femmes placée derrière Marie tient dans sa main droite deux colombes qui doivent, selon les prescriptions, être sacrifiées. Dans la main gauche elle porte des bougies allumées, qui indiquent la fête à laquelle est associé l'événement, celle de la Présentation au Temple. Au-dessous de Jésus, trois figures sont agenouillées : une dominicaine et le couple de commanditaires. La scène s'inscrit dans l'initiale N, décorée avec des rinceaux, qui se trouve au début du cantique de Siméon pour la fête de Marie : Nunc dimittis, domine, servum tuum in pace (Maintenant, Seigneur, laisse ton serviteur aller en paix). Les mots visibles au-dessus de l'initiale Intercede pro nobis (Priez pour nous [sainte mère de Dieu]) concluent le chant. Au verso se trouve un extrait de l'interlude liturgique avec le texte Postquam impleti sunt dies purgationis (Quand les jours de purification furent terminés). Le fragment a été acheté en 1978 par le canton de Thurgovie chez Sotheby's à Londres. Il provient de la collection de Robert Hirsch (1833-1877) à Bâle.
En ligne depuis: 12.12.2019
Enluminure découpée d'un luxueux manuscrit. L'Annonciation est représentée dans l'initiale M au début du texte Missus est Gabriel (Gabriel a été envoyé) célébré le 25 mars. Dans un haut cadre rectangulaire orné de motifs géométriques, l'archange Gabriel et Marie se tiennent face à face, chacun placé sous l'une des arcades formées par la lettre M. Gabriel tient un phylactère avec sa salutation AVE GRACIA PLENA (Je te salue, pleine de grâce), devant Marie qui l'écoute. Les hastes verticales de la lettre M se terminent par des feuilles à palmettes qui débordent sur l'espace entourant l'initiale et qui ont été précisément découpées. Sur les feuilles de palmettes à droite se voient les lignes rouges pour la musique, ainsi qu'une seule note. Il s'agit de l'illustration d'un livre de grand format et de haute qualité picturale, avec des couleurs claires et opaques dans des tons roses, verts et bleus finement dégradés. Le texte musical du verso peut se rapporter aux versets 2.2, 4.11 et 4.13 du Cantique des Cantiques. Ce fragment provient du même ouvrage de chœur que l'initiale représentant la mort de la Vierge. Les deux fragments figurent des stations du cycle marial, où T09393 illustre la première phase, T 9394 la dernière. Du point de vue stylistique, ils peuvent être rapprochés de trois folios de la collection de Bastard d'Estang à la Bibliothèque nationale de France à Paris (AD 152G, PL 842-3, AD 150H, PL 51). En 1994, le canton de Thurgovie les acheta tous deux sur le marché antiquaire parisien. Auparavant, ils appartenaient à une collection privée en Suisse.
En ligne depuis: 12.12.2019
Miniature particulièrement grande découpée d'un manuscrit magnifique. Dans l'initiale V du texte Vidi speciosam dédié à la fête de l'Assomption du 15 août, la Mère de Dieu gît sur son lit de mort, entourée par trois apôtres et Jésus qui reçoit son âme sous la forme d'une petite figure féminine. La scène est insérée dans un cadre rectangulaire orné d'un motif géométrique répétitif. De l'initiale V sur la gauche partent trois rinceaux avec des petites feuilles et des rosettes qui sont découpées. La peinture avec des tons bleu et rouge brillants atteint un haut niveau pictural. Le texte du chant sur le verso vient des versets biblique 26-32 de la Lectio prima de l'Evangile de Luc. Le fragment provient du même livre de chœur que la miniature représentant l'Annonciation. Tous deux figurent des stations du cycle marial, où T 9393 illustre la première étape, T 9394 la dernière. Du point de vue stylistique, ils peuvent être rapprochés de trois folios de la collection de Bastard d'Estang à la Bibliothèque nationale de France à Paris (AD 152G, PL 842-3, AD 150H, PL 51). En 1994, le canton de Thurgovie les acheta tous deux sur le marché antiquaire parisien. Auparavant, ils appartenaient à une collection privée en Suisse.
En ligne depuis: 12.12.2019
Fragment d'un folio provenant d'un choral. Deux illustrations rectangulaires superposées sur le bord gauche montrent deux épisodes de la vie de Catherine : dans la partie supérieure, elle refuse d'obéir à l'empereur et tourne son attention exclusive vers Jésus ; dans la partie inférieure est représenté le rapport d'amour spirituel – dans le sens de la Minne – entre Catherine et le Christ. Sur le reste du fragment de parchemin et sur le dos se trouve un texte liturgique composé de notation musicale et de texte. Sous les portées rouges avec notes en noir se trouve la ligne du texte correspondant. Les illustrations ont été réalisées dans l'atelier où a également été confectionné le graduel du couvent des dominicaines de St. Katharinental (Musée national suisse Inv. LM 26117 / Historisches Museum Thurgau, inv. T 41401). Les deux enluminures sont de la même main que celle qui a représenté les deux figures sous l'initiale fol. 179v du graduel. Cet enlumineur se caractérise par des figures fragiles aux gestes vifs, un dessin raffiné des visages, des couleurs ténues et un goût joyeux pour la narration picturale par l'insertion d'éléments originaux. Ce fragment a été acheté en 2011 par l'Historisches Museum Thurgau dans une vente aux enchères à Zurich.
En ligne depuis: 12.12.2019
L'antiphonaire avec notation musicale, dont le texte correspond à l'Ordinaire de Lausanne, contient la partie hivernale du Proprium de tempore. Le codex en parchemin a été écrit entre 1511 et 1517 dans l'atelier du maître Ruprecht (Fabri) à Fribourg. L'ornementation du livre et les miniatures sont l'œuvre de Jakob Frank du Couvent des Augustins de Fribourg. La reliure provient de l'atelier franciscain de Fribourg et date d'environ 1517.
En ligne depuis: 20.12.2012
L'antiphonaire avec notation musicale, dont le texte correspond à l'Ordinaire de Lausanne, contient la partie hivernale du Proprium de tempore. Le codex en parchemin a été écrit entre 1511 et 1517 dans l'atelier du maître Ruprecht (Fabri) à Fribourg. L'ornementation du livre et les miniatures sont l'œuvre de Jakob Frank du Couvent des Augustins de Fribourg. La reliure provient de l'atelier franciscain de Fribourg et date d'environ 1528-1559.
En ligne depuis: 09.04.2014
L'antiphonaire avec notation musicale, dont le texte correspond à l'Ordinaire de Lausanne, contient la partie estivale du Proprium de tempore et le Commune sanctorum. Le codex en parchemin a été écrit entre 1509-1510 et en 1517 dans l'atelier du maître Ruprecht (Fabri) à Fribourg. L'ornementation du livre est l'œuvre de Jakob Frank du Couvent des Augustins de Fribourg.
En ligne depuis: 20.12.2012
L'antiphonaire avec notation musicale, dont le texte correspond à l'Ordinaire de Lausanne, contient la partie estivale du Proprium de tempore et le Commune sanctorum. Le codex en parchemin a été écrit entre 1509-1510 et en 1517 dans l'atelier du maître Ruprecht (Fabri) à Fribourg. L'ornementation du livre est l'œuvre de Jakob Frank du Couvent des Augustins de Fribourg.
En ligne depuis: 09.04.2014
L'antiphonaire avec notation musicale, dont le texte correspond à l'Ordinaire de Lausanne, contient la partie hivernale du de Sanctis, l'Officium B.M.V. et le Commune sanctorum. Le codex en parchemin a été écrit entre 1510 et 1517 dans l'atelier du maître Ruprecht (Fabri) à Fribourg, par deux mains différentes (A et B). L'ornementation du livre est l'œuvre de Jakob Frank du Couvent des Augustins de Fribourg et de son aide.
En ligne depuis: 20.12.2012
L'antiphonaire avec notation musicale, dont le texte correspond à l'Ordinaire de Lausanne, contient la partie hivernale du de Sanctis, l'Officium B.M.V. et le Commune sanctorum. Le codex en parchemin a été écrit entre 1510 et 1517 dans l'atelier du maître Ruprecht (Fabri) à Fribourg, par deux mains différentes (A et B). L'ornementation du livre est l'œuvre de Jakob Frank du Couvent des Augustins de Fribourg et de son aide.
En ligne depuis: 09.04.2014
L'antiphonaire avec notation musicale, dont le texte correspond à l'Ordinaire de Lausanne, contient la partie estivale du de Sanctis et l'Officium B.M.V. Le codex en parchemin a été écrit entre 1510 et 1517 dans l'atelier du maître Ruprecht (Fabri) à Fribourg, par la main B (cf. Archive du Chapitre Saint-Nicolas, ms. 5). L'ornementation du livre est l'œuvre de Jakob Frank du Couvent des Augustins de Fribourg.
En ligne depuis: 20.12.2012
L'antiphonaire avec notation musicale, dont le texte correspond à l'Ordinaire de Lausanne, contient la partie estivale du de Sanctis et l'Officium B.M.V. Le codex en parchemin a été écrit entre 1511 et 1517 dans l'atelier du maître Ruprecht (Fabri) à Fribourg. L'ornementation du livre est l'œuvre de Jakob Frank du Couvent des Augustins de Fribourg.
En ligne depuis: 09.04.2014
Copié dans un lieu inconnu durant la première moitié du XIVe siècle, le présent manuscrit constitue un bel exemple d'antiphonaire cistercien noté (seul le propre du temps est ici conservé) : une élégante écriture de grand module garantissant une bonne lisibilité, une notation musicale carrée disposée sur des portées de 4 lignes et un riche décor de lettres filigranées et de drôleries. Les fragments d'une Bible du XIIe siècle reliés en tête du manuscrit sont de précieux témoins pour l'étude paléographique des plus anciens manuscrits réalisés par les cisterciens à Hauterive.
En ligne depuis: 31.03.2011
Cet antiphonaire à l'usage des franciscains, bien qu'il puisse être daté de la fin du XIIIe ou du début du XIVe s., reflète cependant la tradition liturgique franciscaine primitive. Il contient des chants (texte et musique) pour les offices de l'année liturgique tout entière, y compris la fête en l'honneur d'Antoine de Padoue à sa juste place, et un office en l'honneur du Corpus Christi ajouté par une autre main (f. 157r-159v).
En ligne depuis: 21.12.2010
Antiphonaire du couvent des Franciscains de Fribourg, daté de 1488, d'après le colophon f. 214v. Dans les marges et dans les initiales sont représentées des drôleries. Il contient une miniature (f. 14v : Naissance du Christ) et de belles initiales (fleurs, fruits, courges) attribuées au Maître du bréviaire de Jost von Silenen.
En ligne depuis: 09.04.2014
Manuscrit réalisé dans un parchemin d'une certaine épaisseur, assez sale. Reliure du XVIIe-XVIIIe siècle avec des ais de bois revêtus d'un cuir noir estampé à froid, avec cinq boulons en laiton sur les plats antérieur et postérieur (un boulon manque au revers). Deux fragments de fermoirs. D'après les indices paléographiques et de contenus, le volume semble avoir été produit à Hauterive.
En ligne depuis: 13.06.2019
Le manuscrit contient la partie estivale d'un antiphonaire monastique. Les chants pour la liturgie des heures sont écrits en notation carrée sur une portée de 4 lignes. Les ajouts de diverses mains du XVème au XVIIème siècle confirment que le manuscrit est resté en usage pendant une longue période.
En ligne depuis: 10.11.2016
L'antiphonaire monastique contient les chants pour la liturgie des heures. Les mélodies sont entièrement transcrites sous forme de neumes sans portée et désignées par les lettres du tonarium. Les ajouts sur feuilles de papier datent de la fin du XVIème siècle.
En ligne depuis: 10.11.2016
Chants liturgiques pour les heures nocturnes des fêtes datant des débuts de l'abbaye cistercienne de Saint-Urbain.
En ligne depuis: 25.07.2006
L'antiphonaire de la seconde moitié du XIVe siècle comprend les textes depuis la Pentecôte jusqu'à la fin de l'année liturgique, parmi lesquels ceux qui correspondent aux fêtes pour les saints et pour le Commune sanctorum. Son origine est inconnue ; la mention des fêtes de certains saints laisse penser qu'il pourrait provenir de la région de Cologne. Il est écrit dans une écriture uniforme, avec une notation musicale avec neumes sur une portée à quatre lignes, présente quelques ajouts avec neumes sur une portée à cinq lignes ; avec traces d'usure et indications plus tardives. Cinq grandes initiales alternent avec autant d'initiales plus petites, dorées à la feuille; de plus, il y a encore 36 initiales simples. Toutes les lettres initiales sont en rouge et en bleu. Rubriques en rouge. Le manuscrit parvint entre les mains d'un père de Mariastein, actif au collège d'Altdorf. De là, il rejoignit Mariastein, en 1981. Inédit.
En ligne depuis: 22.06.2017
Fragment d'un manuscrit sur parchemin du IXe ou du Xe siècle contenant un extrait d'un antiphonaire. Le texte est écrit dans une minuscule caroline très menue et fine. Quelques initiales, titres et phrases sont écrits en rouge minium brillant.
En ligne depuis: 26.09.2017
Contient la première partie de l'antiphonaire temporel (de la vigile du premier dimanche de l'Avent au cinquième dimanche après l'Epiphanie) et un choix des fêtes du Propre des saints (de la vigile de Saint André à l'Annonciation), destiné à l'usage des couvents franciscains. Il a été écrit et décoré en Italie du Nord (Padoue ou Bologne), et est datable des premières décennies du XIVe s. Il fut utilisé dans le couvent de S. Francesco de Locarno qui en fit probablement l'acquisition – en même temps que le graduel et les antiphonaires du Temporal Codice III et l'antiphonaire du Sanctoral Codice IV – à l'occasion d'une nouvelle consécration de l'église en 1316.
En ligne depuis: 04.10.2011
Contient la seconde partie de l'antiphonaire temporel (de la vigile du dimanche en Septuagésime au dimanche des calendes de novembre) destiné à l'usage des franciscains. Il a été écrit et décoré en Italie du Nord (Padoue ou Bologne), et est datable des premières décennies du XIVe s. Il fut utilisé dans le couvent de S. Francesco de Locarno qui en fit probablement l'acquisition – en même temps que le graduel, l'antiphonaire temporel Codice II et l'antiphonaire du Sanctoral Codice IV – à l'occasion d'une nouvelle consécration de l'église en 1316.
En ligne depuis: 04.10.2011
L'antiphonaire contient les chants pour les fêtes des saints, l'office des morts et l'office de saint Antoine. Il a été écrit et décoré en Italie du Nord (Padoue ou Bologne), et est datable des premières décennies du XIVe s. Il fut utilisé dans le couvent de S. Francesco de Locarno qui en fit probablement l'acquisition – en même temps que le graduel, les antiphonaires temporels Codice II et Codice III – à l'occasion d'une nouvelle consécration de l'église en 1316. Sur la page de garde antérieure, était collée une feuille de papier, détachée lors de la dernière restauration, sur laquelle est dessiné sur les deux côtés un plan commenté d'un « rivellino » (ravelin), un ouvrage de maçonnerie érigé habituellement à l'avant des fortifications comme premier élément de défense.
En ligne depuis: 04.10.2011
La première bibliothèque liturgique des moniales de la Fille-Dieu, aujourd'hui en partie dispersée en Europe, revêt une importance capitale pour l'histoire de l'Ordre cistercien. L'opuscule FiD 1 (notation musicale française) contient les plus anciens offices de saint Bernard et de la Trinité introduits dans l'Ordre vers 1175 ou peu après. Les gardes ont également un statut remarquable. Elles constituent, avec FiD 2 les reliquats d'antiphonaires copiés vers 1136/1140 comportant la liturgie cistercienne primitive recopiée à Metz peu après 1108 par les moines émissaires de l'abbé Étienne Harding. Cette liturgie fut corrigée lors de la réforme de Bernard de Clairvaux achevée au début des années 1140. L'existence d'ébauches bernardines était jusqu'ici connue par l'antiphonaire 12A-B conservé à l'abbaye de Westmalle (Belgique) et par celui de l'abbaye de Tamié 6 (Savoie). Les analyses codicologiques des gardes de FiD 1 et des fragments FiD 2 révèlent que l'ensemble des documents provient du monastère suisse de la Fille-Dieu ; ils partagent un statut identique et des caractéristiques communes, quels que soient les lieux actuels de dépôt. S'y décèlent les mêmes premières mains et mains correctrices, les mêmes ornementations et les mêmes retouches tardives réalisées au plus tôt au XVIe siècle vraisemblablement par les moniales ou les moines de l'abbaye de Hautcrêt (Oron, VD) qui fut, jusqu'en 1536, Père Immédiat de la Fille-Dieu.
En ligne depuis: 22.03.2018
Ces fragments d'antiphonaires copiés autour de 1136/1140, grattés et corrigés vers 1140/1143, constituent une couverture vide. Ces morceaux de parchemin de formats divers ont sans doute été collés les uns aux autres par les moniales de la Fille-Dieu pour recouvrir un formulaire liturgique aujourd'hui disparu. FiD 2 constitue, avec FiD 1, les reliquats d'antiphonaires comportant la liturgie cistercienne primitive. Celle-ci a été définie par Fr. Kovacs (« Fragments du chant cistercien primitif », ASOC 6 [1950], p. 140–150) et Chr. Waddell (The Primitive Cistercian Breviary, Fribourg, 2007 [Spicilegium Friburgense 44]) comme la liturgie réformée par Étienne Harding peu après 1108. Lors de cette réforme, l'abbé de Cîteaux imposa à l'Ordre d'adopter l'antiphonaire messin. Celui-ci fut en vigueur dans l'Ordre jusqu'à l'époque de la deuxième réforme, confiée à Bernard de Clairvaux. Celle-ci fut achevée au début des années 1140. L'existence d'ébauches bernardines était jusqu'ici connue par l'antiphonaire 12A-B de l'abbaye de Westmalle (Belgique) et par celui de l'abbaye de Tamié 6 (Savoie). Les analyses codicologiques des gardes de FiD 1 et des fragments FiD 2 révèlent que l'ensemble des documents provient du monastère suisse de la Fille-Dieu; ils partagent un statut identique et des caractéristiques communes, quels que soient les lieux actuels de dépôt. S'y décèlent les mêmes premières mains et mains correctrices, les mêmes types d'ornementation et les mêmes retouches tardives réalisées au plus tôt au XVIe siècle vraisemblablement par les moniales ou par les moines de Hautcrêt (Oron, VD) qui fut jusqu'en1536 Père Immédiat de la Fille-Dieu.
En ligne depuis: 22.03.2018
Copié par une seule main, l'antiphonaire (partie hivernale du temporal) présente un certain nombre de lacunes textuelles (le début est par exemple manquant). Les différentes divisions des chants en notation carrée sont soit marquées par des initiales simples alternativement bleues et rouges, soit par de plus grandes initiales parties filigranées. Ce manuscrit est en outre orné de quatre initiales historiées d'où naissent d'élégantes tiges baguées et rectilignes, ponctuées d'or et terminées par de longues feuilles de couleurs s'enroulant et se déroulant (f. 54v, 89v, 108v, 210r). Elles sont chromatiquement et stylistiquement proches des productions émiliennes de la fin du XIIIe siècle. Au lieu de représenter l'iconographie traditionnelle montrant le roi David en prière devant Dieu, l'initiale introduisant le chant « Domine ne in ira » (f. 108v) figure un religieux tonsuré – saint François ou un franciscain ? – qui se rapporte vraisemblablement au fait que ce manuscrit est à l'usage des frères mineurs. On ne connaît ni le couvent d'origine auquel le codex était destiné, ni rien de sa provenance ultérieure. Tout au plus peut-on associer cette copie à un deuxième manuscrit des Archives de l'Etat du Valais, le graduel franciscain AVL 506, étant donné qu'ils ont été reliés dans le même atelier au XVIIIe siècle, indice de leur probable appartenance commune – la reliure a depuis été restaurée par R. Bommer, à Bâle (1998).
En ligne depuis: 10.12.2020
Antiphonaire avec notation musicale dont le texte correspond à l'Ordinaire de Sion. Il contient la partie hivernale du Proprium de tempore et, en annexe, l'Officium Defunctorum. Ce codex sur parchemin, composé de deux parties, fut probablement écrit en 1347, par la même main qui a rédigé le codex Ms. 2 appartenant également aux Archives du Chapitre de la Cathédrale de Sion.
En ligne depuis: 21.12.2010
Cet antiphonaire est écrit par la même main que le codex Ms. 1 des Archives du Chapitre de la Cathédrale de Sion. Ce manuscrit, avec notation musicale, date de 1347 et contient l'Officium visitationes BMV, le Proprium de sanctis (de André à Catherine), le Commune sanctorum et – ajoutés dans un second temps – d'autres textes brefs. Le texte, comme celui du Proprium de tempore contenu dans le Ms. 1, correspond à l'Ordinaire de Sion.
En ligne depuis: 21.12.2010
Le manuscrit, un autographe, comprend divers écrits sur le mode de vie monastique et sur le monachisme dans le passé et le présent. On y trouve entre autres des traductions de lettres de saint Jérôme et des sermons de Bernard de Clairvaux. Il s'agit d'aides à l'argumentation pour les disputes avec les défenseurs des monastères masculins et féminins.
En ligne depuis: 14.12.2018
Ce manuscrit de petit format du XIe s. réunit un calendrier, un graduel neumé, des chants de messe et un sacramentaire avec les prières pour la messe. Il fut probablement écrit à l'Abbaye de Saint-Gall; à la fin du Moyen Age, il était utilisé dans la Chapelle de Pierre et Paul à Rotmonten près de Saint-Gall. De nombreuses pages entières ou des parties de feuillets, ornées d'initiales, ont été découpées.
En ligne depuis: 21.12.2010
Antiphonaire de Saint-Gall pour les Heures des moines du XIIe siècle, avec des ajouts, datant au plus tard du XIVe siècle, illustré de nombreuses initiales et, au début, d'une miniature du Christ en croix avec Marie et Jean.
En ligne depuis: 24.05.2007
Antiphonaire du XIIIe s. contenant les chants pour la liturgie des heures monastiques. Les mélodies sont notées sous forme de neumes sans portée. Pour l'essentiel, il s'agit d'une copie du Cod. Sang. 390/391 (« antiphonaire de Hartker ») complétée par les fêtes ajoutées après l'achèvement de l'antiphonaire de Hartker.
En ligne depuis: 19.12.2011
Section hivernale de l'Antiphonaire dit d'Hartker: chants des moines de Saint-Gall pour la liturgie des heures, copié et annoté de neumes par le moine et reclus Hartker de Saint-Gall. Chef-d'oeuvre graphique par l'écriture, les neumes et les initales enluminées. Le plus important de tous les manuscrits choraux du Moyen Age, avec quatre dessins à la plume colorés, de grande qualité.
En ligne depuis: 12.06.2006
Section estivale de l'Antiphonaire dit d'Hartker: chants des moines de Saint-Gall pour la liturgie des heures, copié et annotés de neumes par le moine et reclus Hartker de Saint-Gall. Chef-d'oeuvre graphique par l'écriture, les neumes et les initales enluminées. Le plus important de tous les manuscrits choraux du Moyen Age, avec deux dessins à la plume colorés, de grande qualité.
En ligne depuis: 12.06.2006
Le codex écrit au XIIIe s. contient le lectionnaire des matines pour les fêtes des saints et un antiphonaire pour toute l'année liturgique. L'antiphonaire porte le titre In nomine domini incipiunt antiphone secundum morem Marbacensis ecclesie. Pourtant il ne s'agit pas du tout d'un manuscrit du monastère réformé de Marbach en Alsace. D'après les offices qui indiquent un lien avec Saint-Gall, il faut plutôt supposer qu'il provient du couvent des chanoines réguliers de Saint-Laurent à Ittingen, qui était en possession de l'Abbaye de Saint-Gall, mais suivait les Consuetudines de Marbach. La page de garde antérieure (p. 2/1) contient une grande partie de l'office de Gallus, probablement d'un manuscrit du X/XIe s. Aussi bien des lectures que des chants (ces derniers avec neumes) sont transcrits. L'ordre des répons et des antiennes ne correspond pas avec l'antiphonaire de Hartker, Cod. Sang. 391.
En ligne depuis: 20.12.2012
Le manuscrit contient d'abord des antiennes, des invitatoires et des répons de certains offices de saints, puis des versets d'Alléluia et des séquences pour des fêtes de saints. Les chants sont pour la plupart dotés de neumes sans portée. La note, ajoutée encore avant le tournant du XVe siècle (p. 112), présente une notation neumatique avec portée. Comme la couverture en cuir manque entièrement sur le dos et le plat postérieur, les attaches de la reliure gothique sont très visibles. D'après la note de possession à la p. 3, le manuscrit appartenait au XVIIIe siècle au couvent de St. Johann im Toggenburg.
En ligne depuis: 25.04.2023
Antiphonaire de grand format de l'Abbaye de Saint-Gall, réalisé en 1544, à la demande de l'abbé Diethelm Blarer (1530-1564), contenant les chants des moines pour les offices des heures aux jours de fête de l'année. Le copiste était Fridolin Sicher (1490-1546), un clerc séculier, organiste de la cathédrale et calligraphe, mais l'enlumineur des 22 initiales et de la pleine page en deux registres au début de l'antiphonaire est inconnu.
En ligne depuis: 09.12.2008
Antiphonaire de grand format contenant des chants à quatre voix, écrit et enluminé entre 1562 et 1564. A la demande du prince abbé Diethelm Blarer (1530-1564), le compositeur italien Manfredi Barbarini Lupo da Correggio composa les pièces pour quatre voix - antiphons, répons, hymnes et psaumes pour les fêtes solennelles de l'année, ainsi que les passions selon Matthieu, Marc et Luc. Le texte fut transcrit par le Père Heinrich Keller (1518-1567) et l'enlumineur Kaspar Härtli de Lindau sur le lac de Constance réalisa une enluminure en pleine page représentant la Crucifixion et tous les saints (f. IVr) et une de donation avec les armoiries des conventuels vivant à ce moment-là à Saint-Gall (f. 1r).
En ligne depuis: 23.06.2014
Antiphonaire pour toute l'année liturgique, écrit en notation allemande du plain-chant sur une portée à quatre lignes. Le volume provient probablement d'un monastère bénédictin français, bourguignon ou flamand ; au plus tard depuis environ 1510, il se trouve dans la bibliothèque de l'Abbaye de Saint-Gall. La décoration se compose de quelques grandes initiales en couleur avec entrelacs et de nombreuses cadelures décorées avec des visages ou des animaux.
En ligne depuis: 25.06.2015
Cod. Sang. 1397 est l'un des huit volumes de fragments (c'est-à-dire des volumes qui contiennent exclusivement des fragments) de la Stiftsbibliothek de Saint-Gall. Entre 1774 et 1785, les moines du lieu Johann Nepomuk Hauntinger (1756-1823) et Ildefons von Arx (1755-1833) retirèrent des reliures de nombreux fragments qui avaient été utilisés comme feuillets de garde, onglets, ou renforcements du dos des reliures. A un âge avancé, Ildefons von Arx fit relier les fragments rangés thématiquement dans huit volumes et les offrit en 1822 à son ami Johann Nepomuk Hauntinger. Principalement au cours du XXe siècle, des chercheurs ont trouvé d'autres petits fragments dans des reliures, d'où ils furent retirés, puis placés dans les volumes de fragments existants ou ajoutés à la collection de fragments. De 2005 à 2006 l'important volume de fragments Cod. Sang. 1397 a été dérelié pour des raisons de conservation. Les fragments ont été reliés à neuf (dans le même ordre) dans 23 cahiers (« Ganzpapierbroschuren »). La nouvelle pagination, qui fait désormais foi, commence à 1 dans chaque cahier et ne comprend que les fragments (sans les pages blanches en papier). Mode de citation, par exemple : St. Gallen, Stiftsbibliothek, Cod. Sang. 1397.1, p. 1-2 (= Cod. Sang. 1397, cahier 1, p. 1-2). Le 1er cahier du Cod. Sang. 1397 comprend des fragments avec une notation musicale provenant de six manuscrits liturgiques, qui sont précédés d'un fragment d'un commentaire sur la métaphysique (p. 1-2). Ils datent du Xe/XIe au XIIIe siècle.
En ligne depuis: 06.09.2023
Cod. Sang. 1397 est l'un des huit volumes de fragments (c'est-à-dire des volumes qui contiennent exclusivement des fragments) de la Stiftsbibliothek de Saint-Gall. Entre 1774 et 1785, les moines du lieu Johann Nepomuk Hauntinger (1756-1823) et Ildefons von Arx (1755-1833) retirèrent des reliures de nombreux fragments qui avaient été utilisés comme feuillets de garde, onglets, ou renforcement du dos des reliures. A un âge avancé, Ildefons von Arx fit relier les fragments rangés thématiquement dans huit volumes et les offrit en 1822 à son ami Johann Nepomuk Hauntinger. Principalement au cours du XXe siècle, des chercheurs ont trouvé d'autres petits fragments dans des reliures, d'où ils furent retirés, puis placés dans les volumes de fragments existants ou ajoutés à la collection de fragments. De 2005 à 2006 l'important volume de fragments Cod. Sang. 1397 a été dérelié pour des raisons de conservation. Les fragments ont été reliés à neuf (dans le même ordre) dans 23 cahiers (« Ganzpapierbroschuren »). La nouvelle pagination, qui fait désormais foi, commence à 1 dans chaque cahier et ne comprend que les fragments (sans les pages blanches en papier). Mode de citation, par exemple : St. Gallen, Stiftsbibliothek, Cod. Sang. 1397.1, p. 1-2 (= Cod. Sang. 1397, cahier 1, p. 1-2). Le 2e cahier du Cod. Sang. 1397 contient des fragments, dont la plupart avec une notation musicale, provenant de neuf manuscrits liturgiques datant du Xe/XIe au XIIe siècle.
En ligne depuis: 06.09.2023
Cod. Sang. 1397 est l'un des huit volumes de fragments (c'est-à-dire des volumes qui contiennent exclusivement des fragments) de la Stiftsbibliothek de Saint-Gall. Entre 1774 et 1785, les moines du lieu Johann Nepomuk Hauntinger (1756-1823) et Ildefons von Arx (1755-1833) retirèrent des reliures de nombreux fragments qui avaient été utilisés comme feuillets de garde, onglets, ou renforcement du dos des reliures. A un âge avancé, Ildefons von Arx fit relier les fragments rangés thématiquement dans huit volumes et les offrit en 1822 à son ami Johann Nepomuk Hauntinger. Principalement au cours du XXe siècle, des chercheurs ont trouvé d'autres petits fragments dans des reliures, d'où ils furent retirés, puis placés dans les volumes de fragments existants ou ajoutés à la collection de fragments. De 2005 à 2006 l'important volume de fragments Cod. Sang. 1397 a été dérelié pour des raisons de conservation. Les fragments ont été reliés à neuf (dans le même ordre) dans 23 cahiers (« Ganzpapierbroschuren »). La nouvelle pagination, qui fait désormais foi, commence à 1 dans chaque cahier et ne comprend que les fragments (sans les pages blanches en papier). Mode de citation, par exemple : St. Gallen, Stiftsbibliothek, Cod. Sang. 1397.1, p. 1-2 (= Cod. Sang. 1397, cahier 1, p. 1-2). Le 3e cahier du Cod. Sang. 1397 contient des fragments avec une notation musicale provenant de sept manuscrits liturgiques datant du XIe au XIIIe/XIVe siècle.
En ligne depuis: 06.09.2023
Cod. Sang. 1397 est l'un des huit volumes de fragments (c'est-à-dire des volumes qui contiennent exclusivement des fragments) de la Stiftsbibliothek de Saint-Gall. Entre 1774 et 1785, les moines du lieu Johann Nepomuk Hauntinger (1756-1823) et Ildefons von Arx (1755-1833) retirèrent des reliures de nombreux fragments qui avaient été utilisés comme feuillets de garde, onglets, ou renforcement du dos des reliures. A un âge avancé, Ildefons von Arx fit relier les fragments rangés thématiquement dans huit volumes et les offrit en 1822 à son ami Johann Nepomuk Hauntinger. Principalement au cours du XXe siècle, des chercheurs ont trouvé d'autres petits fragments dans des reliures, d'où ils furent retirés, puis placés dans les volumes de fragments existants ou ajoutés à la collection de fragments. De 2005 à 2006 l'important volume de fragments Cod. Sang. 1397 a été dérelié pour des raisons de conservation. Les fragments ont été reliés à neuf (dans le même ordre) dans 23 cahiers (« Ganzpapierbroschuren »). La nouvelle pagination, qui fait désormais foi, commence à 1 dans chaque cahier et ne comprend que les fragments (sans les pages blanches en papier). Mode de citation, par exemple : St. Gallen, Stiftsbibliothek, Cod. Sang. 1397.1, p. 1-2 (= Cod. Sang. 1397, cahier 1, p. 1-2). Le 6e cahier du Cod. Sang. 1397 contient des fragments avec une notation musicale provenant de six manuscrits liturgiques datant du XIe au XIVe siècle.
En ligne depuis: 06.09.2023
Cod. Sang. 1397 est l'un des huit volumes de fragments (c'est-à-dire des volumes qui contiennent exclusivement des fragments) de la Stiftsbibliothek de Saint-Gall. Entre 1774 et 1785, les moines du lieu Johann Nepomuk Hauntinger (1756-1823) et Ildefons von Arx (1755-1833) retirèrent des reliures de nombreux fragments qui avaient été utilisés comme feuillets de garde, onglets, ou renforcement du dos des reliures. A un âge avancé, Ildefons von Arx fit relier les fragments rangés thématiquement dans huit volumes et les offrit en 1822 à son ami Johann Nepomuk Hauntinger. Principalement au cours du XXe siècle, des chercheurs ont trouvé d'autres petits fragments dans des reliures, d'où ils furent retirés, puis placés dans les volumes de fragments existants ou ajoutés à la collection de fragments. De 2005 à 2006 l'important volume de fragments Cod. Sang. 1397 a été dérelié pour des raisons de conservation. Les fragments ont été reliés à neuf (dans le même ordre) dans 23 cahiers (« Ganzpapierbroschuren »). La nouvelle pagination, qui fait désormais foi, commence à 1 dans chaque cahier et ne comprend que les fragments (sans les pages blanches en papier). Mode de citation, par exemple : St. Gallen, Stiftsbibliothek, Cod. Sang. 1397.1, p. 1-2 (= Cod. Sang. 1397, cahier 1, p. 1-2). Le 7e cahier du Cod. Sang. 1397 contient des fragments avec une notation musicale provenant de cinq manuscrits liturgiques datant du XIIe au XIVe siècle.
En ligne depuis: 06.09.2023
Cod. Sang. 1397 est l'un des huit volumes de fragments (c'est-à-dire des volumes qui contiennent exclusivement des fragments) de la Stiftsbibliothek de Saint-Gall. Entre 1774 et 1785, les moines du lieu Johann Nepomuk Hauntinger (1756-1823) et Ildefons von Arx (1755-1833) retirèrent des reliures de nombreux fragments qui avaient été utilisés comme feuillets de garde, onglets, ou renforcement du dos des reliures. A un âge avancé, Ildefons von Arx fit relier les fragments rangés thématiquement dans huit volumes et les offrit en 1822 à son ami Johann Nepomuk Hauntinger. Principalement au cours du XXe siècle, des chercheurs ont trouvé d'autres petits fragments dans des reliures, d'où ils furent retirés, puis placés dans les volumes de fragments existants ou ajoutés à la collection de fragments. De 2005 à 2006 l'important volume de fragments Cod. Sang. 1397 a été dérelié pour des raisons de conservation. Les fragments ont été reliés à neuf (dans le même ordre) dans 23 cahiers (« Ganzpapierbroschuren »). La nouvelle pagination, qui fait désormais foi, commence à 1 dans chaque cahier et ne comprend que les fragments (sans les pages blanches en papier). Mode de citation, par exemple : St. Gallen, Stiftsbibliothek, Cod. Sang. 1397.1, p. 1-2 (= Cod. Sang. 1397, cahier 1, p. 1-2). Le 8e cahier du Cod. Sang. 1397 contient des fragments avec une notation musicale provenant de cinq manuscrits liturgiques datant du XIe/XIIe au XIIIe siècle.
En ligne depuis: 06.09.2023
Cod. Sang. 1397 est l'un des huit volumes de fragments (c'est-à-dire des volumes qui contiennent exclusivement des fragments) de la Stiftsbibliothek de Saint-Gall. Entre 1774 et 1785, les moines du lieu Johann Nepomuk Hauntinger (1756-1823) et Ildefons von Arx (1755-1833) retirèrent des reliures de nombreux fragments qui avaient été utilisés comme feuillets de garde, onglets, ou renforcement du dos des reliures. A un âge avancé, Ildefons von Arx fit relier les fragments rangés thématiquement dans huit volumes et les offrit en 1822 à son ami Johann Nepomuk Hauntinger. Principalement au cours du XXe siècle, des chercheurs ont trouvé d'autres petits fragments dans des reliures, d'où ils furent retirés, puis placés dans les volumes de fragments existants ou ajoutés à la collection de fragments. De 2005 à 2006 l'important volume de fragments Cod. Sang. 1397 a été dérelié pour des raisons de conservation. Les fragments ont été reliés à neuf (dans le même ordre) dans 23 cahiers (« Ganzpapierbroschuren »). La nouvelle pagination, qui fait désormais foi, commence à 1 dans chaque cahier et ne comprend que les fragments (sans les pages blanches en papier). Mode de citation, par exemple : St. Gallen, Stiftsbibliothek, Cod. Sang. 1397.1, p. 1-2 (= Cod. Sang. 1397, cahier 1, p. 1-2). Le 9e cahier du Cod. Sang. 1397 contient des fragments avec une notation musicale provenant de sept manuscrits liturgiques datant du XIIe au XIVe siècle, et d'un bréviaire imprimé.
En ligne depuis: 06.09.2023
Cod. Sang. 1397 est l'un des huit volumes de fragments (c'est-à-dire des volumes qui contiennent exclusivement des fragments) de la Stiftsbibliothek de Saint-Gall. Entre 1774 et 1785, les moines du lieu Johann Nepomuk Hauntinger (1756-1823) et Ildefons von Arx (1755-1833) retirèrent des reliures de nombreux fragments qui avaient été utilisés comme feuillets de garde, onglets, ou renforcement du dos des reliures. A un âge avancé, Ildefons von Arx fit relier les fragments rangés thématiquement dans huit volumes et les offrit en 1822 à son ami Johann Nepomuk Hauntinger. Principalement au cours du XXe siècle, des chercheurs ont trouvé d'autres petits fragments dans des reliures, d'où ils furent retirés, puis placés dans les volumes de fragments existants ou ajoutés à la collection de fragments. De 2005 à 2006 l'important volume de fragments Cod. Sang. 1397 a été dérelié pour des raisons de conservation. Les fragments ont été reliés à neuf (dans le même ordre) dans 23 cahiers (« Ganzpapierbroschuren »). La nouvelle pagination, qui fait désormais foi, commence à 1 dans chaque cahier et ne comprend que les fragments (sans les pages blanches en papier). Mode de citation, par exemple : St. Gallen, Stiftsbibliothek, Cod. Sang. 1397.1, p. 1-2 (= Cod. Sang. 1397, cahier 1, p. 1-2). Le 17e cahier du Cod. Sang. 1397 contient des fragments provenant de six manuscrits liturgiques datant du IXe au XIVe siècle.
En ligne depuis: 06.09.2023
Partie hivernale d'un antiphonaire de grand format en deux volumes (partie estivale dans Cod. Sang. 1760), utilisé pour la liturgie des heures des moines de Saint-Gall, écrit vers 1770 par le moine de Saint-Gall Martin ab Yberg (1741-1777) et richement enluminé avec de petits dessins à l'aquarelle du père Notker Grögle (1740-1816), entourés de corniches fleuries rococo. Le volume, muni de somptueuses ferrures en laiton baroques, contient les chants des moines de Saint-Gall pour les fêtes solennelles et celles de saints entre le premier dimanche de l'Avent et l'Ascension. Il se subdivise en trois parties : le Proprium de tempore (pp. 1−357), le Proprium sanctorum (pp. 358−500) et le Commune sanctorum (pp. 501−559). A la fin, figurent des suffrages et des antiennes et répons pour les jours de semaine (pp. 560-616). Les chants pour les jours des fêtes de l'archange Gabriel et de sainte Scholastique sont aussi ajoutés (pp. 617-626). Les mélodies sont notées en notation allemande du plain-chant sur des portées à cinq lignes. Le volume passa, en 1930, de la bibliothèque du choeur de la cathédrale à la bibliothèque abbatiale.
En ligne depuis: 26.09.2017
Partie estivale d'un antiphonaire de grand format en deux volumes (partie hivernale dans Cod. Sang. 1759), utilisé pour la liturgie des heures des moines de Saint-Gall, écrit en 1770 (chronogramme en argent sur le frontispice), par le moine de Saint-Gall Martin ab Yberg (1741-1777) et richement enluminé avec de petits dessins à l'aquarelle du père Notker Grögle (1740-1816), entourés de corniches fleuries rococo. Le volume, muni de somptueuses ferrures en laiton baroques, contient les chants des moines de Saint-Gall pour les fêtes solennelles et celles de saints entre Pentecôte et le dernier dimanche après Pentecôte. Il se subdivise en trois parties : le Proprium de tempore (p. 1−113), le Proprium sanctorum (p. 114−353) et le Commune sanctorum (p. 354−400). A la fin, figurent des suffrages, des antiennes et répons pour les jours de semaine (p. 401−431). Les chants pour les jours des fêtes de saint Joachim et de l'archange Raphaël sont aussi ajoutés (p. 432−440). Les mélodies sont notées en notation allemande du plain-chant sur des portées à cinq lignes. Le volume passa, en 1930, de la bibliothèque du chœur de la cathédrale à la bibliothèque abbatiale.
En ligne depuis: 26.09.2017
Partie hivernale d'un antiphonaire, organisé à l'origine en deux volumes, et divisé au moment de la reliure en quatre tomes. L'antiphonaire, dont les autres parties sont conservées dans les Codd. Sang. 1763, 1764 et 1795, fut écrit et probablement aussi décoré par le p. Dominikus Feustlin (1713-1782). Son style se caractérise par des cadres aux coloris vifs, composés de milliers de petits traits dessinés autour des initiales et des cartouches des titres. Page de titre avec les armes de Saint-Gall, Saint-Jean, du Toggenbourg et de l'abbé Cölestin Gugger von Staudach (1740-1767) à la p. III. D'autres cartouches contenant un titre décorés aux pages 1, 45, 48, 53, 101, 104, 162, 178, 202 et 214. La partie hivernale contient le Proprium de tempore pour la prime de l'Avent jusqu'au mercredi des cendres (pp. 1-161), le Proprium de Sanctis de novembre à fin février (pp. 162–213), le Commune Sanctorum (pp. 214–251), des messes votives (pp. 252–272) et les Antiphonae feriales (pp. 272–297).
En ligne depuis: 22.03.2018
Partie du printemps d'un antiphonaire organisé à l'origine en deux volumes, et divisé au moment de la reliure en quatre tomes. L'antiphonaire, dont les autres parties sont conservées dans les Cod. Sang. 1762, 1764 et 1795, fut écrit et probablement aussi décoré par le p. Dominikus Feustlin (1713-1782). Son style se caractérise par des cadres aux coloris vifs, composés de milliers de petits traits dessinés autour des initiales et des cartouches des titres. Les cartouches avec les titres décorés se trouvent aux pp. 68, 87, 106, 123, 179, 206, 260, 271 et 307. La partie du printemps comprend le Proprium de tempore du mercredi des cendres au jour de l'Ascension (pp. 1-205), le Proprium de sanctis de la fin février à mai (pp. 206-306), le Commune sanctorum (pp. 307-338), les offices en l'honneur de saint Benoît (les mardis, pp. 339-343) et de la Vierge (les samedis, pp. 344-347), les Suffragia sanctorum (pp. 348-352) et les antiennes et les répons pour les jours de la semaine (pp. 352-384). Les mélodies sont écrites en « Hufnagelnotation » sur cinq lignes.
En ligne depuis: 12.12.2019
Partie d'été d'un antiphonaire organisé à l'origine en deux volumes, et divisé au moment de la reliure en quatre tomes. L'antiphonaire, dont les autres parties sont conservées dans les Cod. Sang. 1762, 1763 et 1795, fut écrit et probablement aussi décoré par le p. Dominikus Feustlin (1713-1782). Son style se caractérise par des cadres aux coloris vifs, composés de milliers de petits traits dessinés autour des initiales et des cartouches des titres. Page de titre avec les armes de Saint-Gall, Saint-Jean, du Toggenbourg et de l'abbé Cölestin Gugger von Staudach (1740-1767) à la p. III. D'autres cartouches contenant un titre décorés aux pp. 1, 36, 43, 122, 202 et 241. La partie d'été comprend le Proprium de tempore de Pentecôte au dimanche XVI après Pentecôte (pp. 1-121), le Proprium de sanctis de juin à août (pp. 122-240), le Commune sanctorum (pp. 241-269), les offices pour la dédicace de l'église (pp. 270-273), en honneur de saint Benoît (les mardis, pp. 274-279) et de la Vierge (les samedis, pp. 280-285), les Suffragia sanctorum (pp. 286-289) et les antiennes pour les jours de semaine (pp. 290-297). Les mélodies sont écrites en « Hufnagelnotation » sur cinq lignes.
En ligne depuis: 12.12.2019
Partie d'hiver d'un antiphonaire de grand format, écrit et décoré par le p. David Schaller (1581-1636). La partie d'été se trouve dans le Cod. Sang. 1769. Il s'ouvre par un calendrier de janvier à avril, ainsi que décembre (pp. 4-8), suivi par le Proprium de tempore (pp. 9-285), le Proprium de sanctis (pp. 291-377) et le Commune sanctorum (pp. 387-451). Frontispice avec enluminure en pleine page représentant la Lactatio sancti Bernardi dans le tiers supérieur, Gall et Otmar dans le tiers inférieur qui flanquent les armes de l'abbaye de Saint-Gall sous l'abbé Bernhard Müller (1594-1630). Quelques grandes initiales à feuille d'or sur fond coloré et décorées de rinceaux, et bordures dans les marges (pp. 9, 62, 109, 244, 291, 345 et 387). Les mélodies sont écrites en « Hufnagelnotation » sur cinq lignes.
En ligne depuis: 12.12.2019
Partie d'été d'un antiphonaire de grand format, écrit et décoré par le p. David Schaller (1581-1636). La partie d'hiver se trouve dans le Cod. Sang. 1768. Il s'ouvre par un calendrier allant d'avril à novembre (pp. A-6), suivi par le Proprium de tempore (pp. 7-191), le Proprium de sanctis (pp. 195-425), le Commune sanctorum (pp. 429-495) et des antiennes pour complies (pp. 497-499). Sur deux feuillets en papier ajoutés deux répons (p. 501, 503). La décoration se limite à des lombardes avec des arabesques. Les mélodies sont écrites en « Hufnagelnotation » sur cinq lignes.
En ligne depuis: 12.12.2019
Partie d'automne d'un antiphonaire organisé à l'origine en deux volumes, et divisé au moment de la reliure en quatre tomes. L'antiphonaire, dont les autres parties sont conservées dans les Cod. Sang. 1762, 1763 et 1764, fut écrit et probablement aussi décoré par le p. Dominikus Feustlin (1713-1782). Son style se caractérise par des cadres aux coloris vifs, composés de milliers de petits traits dessinés autour des initiales et des cartouches des titres. Les cartouches avec les titres décorés se trouvent aux pp. 1, 36, 73, 118, 151, 203 et 266. Page finale avec un chronogramme (1762) à la p. 360. La partie d'automne comprend le Proprium de tempore pour les samedis de fin août et du XIe au XXIVe dimanche après Pentecôte (pp. 1-30), des antiennes pour le troisième et le sixième dimanche après l'Epiphanie (pp. 31-36), le Proprium de sanctis de septembre à novembre (pp. 36-265), le Commune sanctorum (pp. 266-305), les offices pour la dédicace de l'église (pp. 306-311), en honneur de saint Benoît (les mardis, pp. 312-319) et de la Vierge (les samedis, pp. 319-326), les Suffragia sanctorum (pp. 326-331) et les antiennes pour les jours de semaine (pp. 361-365). Après la page finale (p. 360) suit encore la fête pour l'archange Raphael (pp. 361-365). Les mélodies sont écrites en « Hufnagelnotation » sur cinq lignes.
En ligne depuis: 12.12.2019
Ce volume fait partie d'un antiphonaire en trois volumes, réalisé en double exemplaire, pour la liturgie du chapitre collégial Saint-Vincent, fondé en 1484/85, dans la ville de Berne. Il contient toute la partie hivernale du temporal, du sanctoral et du commun des saints, selon la liturgie du diocèse de Lausanne, et constitue le pendant du volume I conservé aujourd'hui par la paroisse catholique Saint-Laurent à Estavayer-le-Lac. A l'origine, huit initiales décoraient ce volume, mais seules deux d'entre elles n'ont pas disparu (p. 71 et p. 429). Elles sont attribuées à l'enlumineur et copiste Conrad Blochinger qui a également apporté des corrections et des additions de textes aux autres volumes de cet ensemble. Suite à l'introduction de la Réforme en 1528, puis à la sécularisation du Chapitre, les antiphonaires de cet ensemble ont été dispersés en 1530 : quatre ont été vendus à la Ville d'Estavayer-le-Lac qui les a utilisés pour la liturgie de la Collégiale Saint-Laurent, tandis que les deux autres – parmi lesquels le présent volume – sont parvenus, dans des circonstances encore non élucidées, à Vevey, où ils sont conservés au Musée historique.
En ligne depuis: 25.06.2015
Ce volume fait partie d'un antiphonaire en trois volumes, réalisé en double exemplaire, pour la liturgie du chapitre collégial Saint-Vincent, fondé en 1484/85, dans la ville de Berne. Il contient la partie estivale du sanctoral et du commun des saints selon la liturgie du diocèse de Lausanne et constitue le pendant du volume II conservé aujourd'hui par la paroisse catholique Saint-Laurent à Estavayer-le-Lac. Les trois miniatures (p. 207, p. 271 et p. 397) qui décorent encore ce volume sont attribuées à un artiste itinérant qui a exercé son activité en Suisse — à Fribourg, Berne et Sion — et en suite à Ivrée et Aoste. Il est connu sous les noms du Maître du Bréviaire de Josse de Silenen et du Miniaturiste de Georges de Challant. Suite à l'introduction de la Réforme en 1528, puis à la sécularisation du chapitre, les antiphonaires de cet ensemble ont été dispersés en 1530 : quatre ont été vendus à la Ville d'Estavayer-le-Lac qui les a utilisés pour la liturgie de la Collégiale Saint-Laurent, tandis que les deux autres — parmi lesquels le présent volume — sont parvenus, dans des circonstances encore non élucidées, à Vevey, où ils sont conservés au Musée historique.
En ligne depuis: 20.12.2016
Ce manuscrit sur parchemin, orné et muni de notations musicales, contient le Proprium de tempore (la partie hivernale, du premier dimanche de l'Avent jusqu'au Vendredi Saint), et fut écrit vers la fin du XVe s. Le texte s'interrompt au fond d'une page, à la fin du troisième psaume des Laudes pour le Vendredi Saint. L'antiphonaire se trouvait dans le couvent des dominicaines de Sainte-Catherine à Saint-Gall où il fut aussi peut-être écrit. La même main a rédigé le manuscrit contenant la partie estivale de l'antiphonaire (Will, couvent des dominicaines de Sainte-Catherine, M III).
En ligne depuis: 21.12.2010
Cet antiphonaire portant la cote M III contient les fêtes des saints (Proprium de sanctis de André à Dominique), et fut écrit par la même main que celui qui contient la partie hivernale (Will, couvent des dominicaines de Sainte-Catherine, M II). Ce manuscrit sur parchemin, orné et muni de notations musicales, fut probablement écrit, tout comme le M II, dans le couvent des dominicaines de Sainte-Catherine à Saint-Gall.
En ligne depuis: 21.12.2010
Le codex contient le texte complet du Dialogus écrit vers les années 1110-1120 par Pierre Alfonse, un juif de Huesca (qui appartient depuis 1096 au Royaume d'Aragon), converti au christianisme en 1106. Le Dialogus est une oeuvre polémique et apologétique qui tente, avec des arguments novateurs pour l'époque et fondés sur la ratio, du point de vue de l'auteur, d'expliquer la primauté du Christianisme sur le Judaïsme et l'Islam. L'œuvre connut aussitôt après sa naissance une grande diffusion et influença la polémique religieuse dans le Moyen Age latin, principalement durant les XIIIe et XIVe s.
En ligne depuis: 22.03.2012